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dc.contributor.authorMouhammed Monsaf, MESSAOUDANI-
dc.date.accessioned2025-09-15T08:12:51Z-
dc.date.available2025-09-15T08:12:51Z-
dc.date.issued2025-06-
dc.identifier.citationProtection des Ecosystèmesen_US
dc.identifier.urihttp://dspace.centre-univ-mila.dz/jspui/handle/123456789/4391-
dc.description.abstractNoise pollution has become a major public health issue in Algeria due to its intensification and growing impacts on quality of life, population health, and ecosystem balance. This study aims to assess the spatial and temporal distribution of noise pollution on the Abdelhafid Boussouf University campus (Mila) and to analyze its perceived impacts by the university community. It consists of two complementary parts: the first involves measuring noise pollution levels at 30 geolocated points on the campus using the mobile application "Noise Capture," with data collected over ten campaigns spanning five months at different times of the day. The spatial and temporal analysis of these data was performed using ArcGIS software, enabling precise mapping of noise distribution across the campus. The second part is based on a field survey conducted among the university community, aiming to gather perceptions and feelings related to the campus sound environment. The study’s results reveal noise levels on campus ranging from 53 to 136 decibels, far exceeding the WHO recommended limit. Significant noise pollution was especially observed during the morning peak at 11:00 a.m., where authorized thresholds were frequently surpassed. The most affected areas are the main west entrance and the campus central lounge. Additionally, notable variations in noise levels were observed throughout the week, with peaks on Mondays and Tuesdays coinciding with high campus attendance linked to the resumption of academic activities and the massive influx of students. The noise pollution survey among the university population shows that 95% of participants perceive noise pollution as disturbing to their psychological comfort and concentration. Overall, this modest study highlights the concerning nature of noise pollution on the Mila university campus, representing a major issue directly impacting the well-being of the university population and the quality of the educational environment. These findings emphasize the urgent need to implement effective acoustic management strategies to ensure a healthy, calm, and conducive learning environment for academic success.en_US
dc.description.sponsorshipLa pollution sonore est devenue un enjeu majeur de santé publique en Algérie, en raison de son intensification et de ses impacts croissants sur la qualité de vie, la santé des populations et l’équilibre des écosystèmes. Cette étude vise à évaluer la distribution spatiale et temporelle de la pollution sonore dans le campus universitaire Abdelhafid Boussouf (Mila) et à analyser ses impacts perçus par la communauté universitaire. Elle comporte deux volets complémentaires : le premier concerne la mesure des niveaux de pollution sonore en 30 points géolocalisés du campus, grâce à l’application mobile « Noise Capture », avec des données recueillies lors de dix campagnes sur cinq mois à différents moments de la journée. L’analyse spatiale et temporelle de ces données a été effectuée à l’aide du logiciel ArcGIS, permettant de cartographier avec précision la répartition du bruit sur l’ensemble du campus. Le second volet repose sur une enquête de terrain menée auprès de la communauté universitaire, visant à recueillir les perceptions et les ressentis liés à l’environnement sonore du campus. Les résultats de l’étude révèlent des niveaux sonores sur le campus variant entre 53 et 136 décibels, dépassant largement la limite recommandée par l’OMS. Une pollution sonore significative a été constatée, notamment durant le pic matinal à 11h00, où les seuils autorisés étaient fréquemment franchis. Les zones les plus affectées sont l’entrée principale Ouest et le foyer central du campus. Par ailleurs, une variation notable des niveaux sonores a été observée selon les jours de la semaine, avec des pics enregistrés les Lundis et Mardis, coïncidant avec une forte fréquentation du campus liée à la reprise des activités pédagogiques et à l’afflux massif des étudiants. L'enquête sur la pollution sonore auprès de la population universitaire révèle que 95 % des participants perçoivent la pollution sonore comme perturbante pour leur confort psychologique et leur concentration. Dans l’ensemble, cette modeste étude met en lumière le caractère préoccupant de la pollution sonore dans le campus universitaires de Mila, qui constitue un enjeu majeur impactant directement le bien-être de la population universitaire ainsi que la qualité de l’environnement éducatif, ce qui soulignent la nécessité urgente de mettre en oeuvre des stratégies efficaces de gestion acoustique, afin de garantir un cadre d’apprentissage sain, apaisé et favorable à la réussite académique.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherunivercity centre of abdelhafid bousouf milaen_US
dc.subjectNoise level, Acoustic pollution, Decibel, University, Mila.en_US
dc.subjectNiveau sonore, Pollution acoustique, Décibel, Université, Mila.en_US
dc.titleApport du SIG pour l’étude de la pollution sonore dans le Campus Universitaire Abdelhafid Boussouf (Mila)en_US
dc.typeThesisen_US
Appears in Collections:Natural and life sciences

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