Etude de l’effet antiangiogénique des petites molécules

Abstract

Récemment, des progrès incontestables ont été accomplis dans la prise en charge de la pathologie tumorale. Ainsi, l’utilisation des agents antiangiogéniques a été considérée comme une stratégie prometteuse qui ermettra de bloquer la progression tumorale et d’améliorer l’efficacité des médicaments. Cette étude explore, in ovo, et ex ovo l’effet inhibiteur des médicaments Rhitene et, spafon et Déxaméthasone en plus de la décoction de la plante de l’Allium cepa et d’Allium sativum. vis-à-vis la vascularisation de la membrane orioallantoïdienne (CAM). L’extrait aqueux, riche en triterpènes et en composés phénoliques, a été testé, in vivo, sur le modèle CAM. Pour cela, une série de dilution a été préparé à partir du macérat. Les données obtenues montrent qui une dose équivalente à 2 μg de Déxaméthasone diminue la vascularisation de la CAM a un pourcentage de 99 % de blocage par rapport au témoin., L’extrait brut de l’oignon affiche un potentiel anti-angiogénique onsidérable, il inhibe 56% de la vascularisation du CAM ; spafon la diminue de 42% et le Rhitene (cétérizine) ne traduit aucune interaction avec les vaisseaux, l’extrait brute de l’ail se traduit par une irritation des CAM, des saignements et des thromboses. l’oignon et l’ail mérite une exploration approfondie de son potentiel ngiostatique dans le cadre d’une approche thérapeutique.